Ce que la saaq reconnait comme séquelle selon Mélanie Bérubé est:
- les troubles somatoforme douloureux chronique
- les séquelles dues aux interventions chirurgicales incluant les hémorroïdectomies et transfusions sanguines.
- les limitations physique (elle ne précise pas)
- la douleur chronique (elle se répète)
- les problèmes de concentration et de mémoire (désolé elle ne précise pas que c’est dû aux médicaments)
- l’irritabilité
- l’insomnie
- la fatigabilité
dans le rapport médicale le médecin spécifie:
- Arthralgies diffuses et ce en plus du syndrome douloureux chronique
- nausées sec opiocés et ce en plus des hémoroides du à la constipation
- incontinance fécales et urinaire depuis 1998
- carence en vitamine D supplémenté.
- Gravité de l’état : modéré
- stade d’évolution : chronique
- pronostic : irréversible.
- le médecin prescrit des traitements de physiothérapie une fois aux deux semaine.
Mélanie Bérubé ne dit rien à propos de ces huit points nouveau du rapport médicale déposé le 24 novembre 2015
De plus, le Dr a écrit des numéros au point A du rapport médicale, pour les troubles et limitations fonctionnelles suivantes:
Mobilité
16. n’a pas d’endurance à la marche
18 a des problèmes d’équilibre
Tolérance à l’effort
21 Ne peux forcer
22 n’a pas de tolérance à l’effort
23 Ne peux soulever d’objets lourds
Élimination
51 incontinance urinaire
52 incontinance intestinale
Et Malgré tout cela, Mélanie Bérubé écrit: (…) en l’absence d’élément nouveau nous sommes en mesure d’établir qu’il n’y a aucun changement significatif dans votre condition qui vous empêche d’occuper l’emploi déterminé d’artiste peintre à temps partiel. par conséquent nous ne pouvons rendre une nouvelle décision.
Nous demandons révision de cette décision. Principalement, nous voulons que cette révision nous montre où dans le dossier de la saaq, sont les éléments dont Mélanie Bérubé n’a pas tenu compte. En effet si elle prétend que le rapport médical contient TOUT des éléments connus de la saaq… et bien c’est la moindre des choses de montrer où.
Sinon, c’est une intention manifeste de nuire encore une fois, à l’accidenté. et donc un refus de la part de la révision à motivé adéquatement sa décision entraine le droit à une poursuite du reviseur au civil.
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