Visite "privilège"
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visite "explicative" de trois employés de la SAAQ a un accidenté nous avons eu droit à un énorme privilège.
Courrier recommandé
Sherbrooke, le jeudi 19 décembre 2002
Monsieur Jean-Yves Gagnon
Président-directeur général
Société de l'assurance automobile du Québec
333, boul. Jean-Lesage
C.P. 19600
Québec
G1K 8J6
Objet : Nos impressions (Guy Bilodeau et Carmen Fréchette) vis-à-vis la rencontre du 10 décembre 2002
Monsieur Gagnon,
Le 4 octobre 2002, je vous écrivais pour vous faire part de ce que je vis avec la Société de l'assurance automobile du Québec, en vous demandant explications et intervention.
Le 5 décembre 2002, monsieur Gilles St-Pierre écrivait que vous l'aviez chargé de considérer mes plaintes et il proposait un plan d'intervention, soit une rencontre chez-moi avec madame Catherine White, agente d'indemnisation à mon dossier, monsieur Normand Grenier agent de réadaptation et madame Diane Racine conseillère en indemnisation au service des rentes à long terme.
Cette rencontre a eu lieu et a duré environ 1:50h. Je tiens à vous faire part de ce qui en est ressorti pour nous.
Commentaires de Guy Bilodeau:
1 Nous avions des questions sur le médical, l'indemnisation, la réadaptation et la révision etc. mais madame Racine et madame White ne peuvent pas répondre au médical ou à la révision car ont-elles dit, ce ne sont pas de leurs affaires, pas leur département! Et pour l'indemnisation quand on demande des explications de ses décisions, madame White répond que c'est trop d'ouvrage parce qu'elle a 300 dossiers à s'occuper.
2 Nous ne sommes pas plus avancé. Madame White nous dit qu'elle est notre agent d'indemnisation et de liaison mais que, quand une question n'est pas de son domaine, c'est normal qu'elle ne nous réponde pas car elle la transfert. Et nous, nous devons deviner?
3 Et quand nous lui demandons à qui donc devons nous nous adresser si nous avons une question, elle répond de téléphoner car c'est comme ça qu'elle veut que nous communiquions à l'avenir. Mais moi, je ne veux pas car les paroles s'envolent et les écrits restent.
4 Ma conjointe a téléphoné le lendemain de cette rencontre à l'agente de révision pour demander, comme l'avais précisez madame White, à ce que la demande de révision pour le refus de réadaptation soit retirée, Carmen s'est fait dire que pour le département de révision, il vaut mieux écrire car sinon, nous pourrions dire qu'on a jamais fait tel demande et que le département de révision ne pourrait pas le prouver! Alors ma conjointe a fait ce que l'agente de révision demandait, c'est à dire écrire notre demande!
5 Je continuerai donc à écrire même si madame White nous a demandé plusieurs fois de ne plus écrire car les écrits sont des preuves et lorsque je vais en révision, j'ai besoin de ces preuves. Madame White disait que les téléphones laissaient des traces car elle l'écrivait mais justement, elle peut oublier d'écrire des choses importantes.
6 Nous avons posé des questions sur les médecins évaluateurs. Madame Racine disait que ce sont des informations privées et que nous n'avons pas à demander ça.
Nous avions écrit une lettre où nous demandions beaucoup de détails sur le médecin évaluateur au dossier et madame Racine a donné comme exemple à ma conjointe "est-ce que vous aimeriez çà qu'on vous demande votre numéro d'assurance sociale?" Carmen n'a pas répondu mais je sais que la Société de l'assurance automobile du Québec sait encore plus que ça sur moi parce que je suis un accidenté alors…. Et puis les médecins ordinaire affichent les infos (diplômes, spécialisation etc.) sur les murs de leurs bureaux mais il semble que les médecins évaluateurs ait peur de cela!
7 Car nous, nous avons entendu dire qu'il y a 13 médecins évaluateurs pour toute la Société de l'assurance automobile du Québec! Alors, pour nous c'est logique de penser qu'ils ont énormément de travail et que sûrement les dossiers sont négligés. En tout cas c'est ce qui m'est arrivé à moi, de la négligence dans mon dossier médical.
8 Pouvez-vous m'écrire combien de dossiers doivent traiter chaque médecin évaluateur ?
9 Madame White a décidé de tenir compte de la lettre du 21 novembre 2002, où le diagnostic de hernie discale qu'a fait mon médecin suite à un scanner est écrit. Elle m'avait refusé des traitements de physiothérapie cet automne car elle écrivait que ce n'était pas requis médicalement. Pourtant c'était une prescription médicale! Peu de temps après, J'ai envoyé un rapport médical de mon médecin, mais elle a gardé le silence là-dessus. Quand nous lui avons demandé des explications, elle a dit qu'elle n'a jamais vu le rapport médical (mais elle a remboursé les frais de 25$ et le rapport est dans la copie de mon dossier que la Société de l'assurance automobile du Québec m'a envoyé) Comme explication, je trouve donc ça inacceptable, mais nous avons vu que ça ne donnait pas grand-chose de lui dire car elle niait obstinément.
Elle a quand même décidé de permettre les traitements de physiothérapie prescrit cet automne. Nous avons insisté pour avoir ça par écrit et j'attendais d'avoir la lettre pour recevoir les traitements car je n'ai pas les moyens de les payer si elle change d'idée. Je lui ai demandé d'écrire aussi qu'elle considérait la lettre du 21 novembre. Je ne sais pas si elle le fera. J'ai fais la demande aussi à monsieur Grenier de la réadaptation car lui disais que la réadaptation serait "suspendu" Je veux avoir toutes ces décisions par écrit.
10 Pour toutes les demandes d'explications que nous avions vis-à-vis les décisions qui ont été rendu par madame White, ça été un dialogue de sourd, quand ma conjointe montrait les preuves des lois à madame White, madame Racine ou monsieur Grenier, ils disaient que ce n'étaient pas ça que ça voulait dire! Il y a beaucoup de choses avec lesquelles moi et Carmen on n'est pas d'accord et on sait maintenant que ce n'est pas avec ces gens que nous aurons des réponses.
11 Moi et Carmen nous avons parlé longtemps de tout ce qui s'est passé, car j'ai eu du mal à suivre bien des fois. Ce que je vois de cette rencontre, c'est que ces gens ne veulent pas vraiment me comprendre, ils veulent plutôt que je fasse ce qu'eux veulent que je fasse. Mais non. Je continuerai à écrire et je continuerai à demander des explications et à protester quand c'est ridicule.
Commentaires de Carmen Fréchette:
Pour être franche, j'estime que cette réunion n'a pas atteint le but d'entente que j'attendais. Et ce qui ressort pour moi de cette réunion est que:
§ Le service d'indemnisation n'est pas au courant de ce qui se passe dans les autres services (service de révision, service de réadaptation, service médical.)
§ Le dossier de Guy est très mal connu par chacune des personnes qui sont venues ici.
§ Quand une erreur est commise, les agents de la Société de l'assurance automobile du Québec préfèrent la nier, même si nous leur montrons les preuves.
§ L'agente d'indemnisation estime qu'elle n'a pas à expliquer ses décisions ou ses actions au dossier de Guy.
Je trouve cela illogique et préjudiciable. Mais cela apporte un nouvel éclairage sur la façon dont Guy a été traité depuis son accident.
J'ai téléphoné à madame White pour lui redemander la lettre autorisant les traitements de physio pour mon mari. Nous avons reçu la lettre hier. Et c'est correct. Mais il y a des demandes que l'on ne peut faire par téléphone, il y a trop de détails. Ceux-là, nous continuons à les écrire.
J'ai aussi téléphoné à madame Racine pour recevoir une copie des manuels de directives administratives (indemnisation des dommages corporels) tome 1 et 2 et le manuel concernant le remboursement de certain frais. Nous en avions parlé le 10 décembre. Hier, elle m'a donné les détails pour les commander ainsi que les prix. Je commanderai donc ces documents aujourd'hui.
Nous avons écrit cette lettre conjointement. Nous avons fait court car nous savons que vous n'avez pas que cela à faire.
Veuillez agréer, Monsieur, mes salutations distinguées.
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Guy Bilodeau Carmen Fréchette