mépriser les accidentés
SELECT categories.* FROM (SELECT DISTINCT CAST(SUBSTRING(members.anchor, 10) AS UNSIGNED) AS target FROM yacs_members AS members WHERE (members.member LIKE 'article:1918') AND (members.anchor LIKE 'category:%')) AS ids, yacs_categories AS categories WHERE (categories.id = ids.target) AND (categories.active='Y') AND ((categories.expiry_date is NULL) OR (categories.expiry_date <= '0000-00-00 00:00:00') OR (categories.expiry_date > '2024-12-22 22:58:49')) ORDER BY rank, title, edit_date DESC LIMIT 0,40
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mépris vis à vis la preuve médicale au dossier
C'est mon opinion et je la partage. (tout écrit diffamatoire sera retiré, merci de rester toujours respectueux)
mépris et rejet ILLÉGALE vis-à-vis la preuve médicale au dossier
Le traitement méprisant des demandes de mon mari, de la part de l'agente d'indemnisation ne s'est pas arrêté, au contraire.
Il semble que le mot d'ordre, pour les employés de la SAAQ soit d'obliger les accidentés à documenter et appuyer scientifiquement par les preuves médicales déjà au dossier chaque demande ; de façon à ce que les pauvres employés de la SAAQ n'aient pas à lever le petit doigt pour chercher quoi que ce soit de cette preuve..
Bien sûr, ces demandes amplement justifiées peuvent être rejetées du revers de la main, sans motif, par les employés, d'où l'obligation supplémentaire pour l'accidenté d'écrire au directeur du service de révision des agents d'indemnisation et/ou au service des plaintes (qui eux, peuvent prendre jusqu'à près de 7 mois à vous répondre!) afin de faire valoir ses droits.
Ces négligences illimitées, incontrôlés et sans conséquences pour leurs auteurs, doivent être dénoncés. C'est ce que je vais donc vous démontrer ci-dessous.
Pourtant, cette preuve est supposée être au dossier, elle devrait être bien évidente non ?
19 septembre 2001
L'expertise du Dr André Girard, orthopédiste membre du Service de l'expertise conseil médical à la SAAQ indique clairement que:
il n'y a pas de condition médicale préexistante à l'accident :
RADIOLOGIES ;
"Un rapport au dossier du Docteur Pierre-Charles Millette neuroradiologiste, concluait après évaluation des radiographies effectuées le 6 mars 1997 en l'absence de discopathie dégénérative du disque L5-S1, ce diagnostic posé uniquement sur la foi de la rétro-lystésiste éliminé par d'autres investigations." Voir copie de son expertise, page 5
2. État antérieur :
• Monsieur Bilodeau n'a jamais présenté de pathologie ou de traumatisme important au niveau de la région cervico-dorso-lombaire avant l'accident de novembre 1990. Le Docteur Lamarre mentionne dans son expertise en date du 29 novembre 1995 que monsieur Bilodeau aurait présenté en 1987 une attaque de lombalgie avec un arrêt de travail de 2 jours, sans séquelle fonctionnelle. Voir copie de son expertise, page 5
Le lien entre les blessures séquelles et l'accident est clairement et abondamment démontrée dans la preuve médicale :
3. L'intensité du traumatisme :
• On mentionne de l'accident de novembre 1990, à l'arrivée au Centre hospitalier St-Vincent de Paul, de diagnostic de contusions, entorse cervicale et lombaire ayant nécessité des examens radiologiques de la région cervico-dorso-lomaire.
4. Délai d'apparition :
• II est évident que monsieur Bilodeau a pu subir des contusions importantes au niveau de la région cervico-dorsolombaire, son véhicule ayant fait plusieurs tonneaux avant de terminer sa course sur un arbre.
5. Délai d'apparition et continuité évolutive
• Monsieur Bilodeau a présenté dès le début, des douleurs au niveau de la région cervico-dorsolombaire. Il y eut par la suite disparition des douleurs au niveau de la région cervicale, et j'entends toujours un syndrome douloureux lombaire avec la région niveau des membres inférieurs qui ont nécessité 5 épidurales ces épidurales n'ayant donné aucun résultat efficace. Une tomodensitométrie axiale de la région lombaire montrant la présence de hernie discale centrale L4-L5- L5-S1. Hernie ayant justifié une évaluation en neurochirurgie auprès du Docteur Cloutier. Ce dernier aurait recommandé, en 1993, une discoïdectomie lombaire L4-L5 _ L5-S1 , intervention chirurgicale refusée par monsieur Bilodeau. Il aurait choisi par la suite différentes modalités thérapeutiques, conservatrices en médecine douce et y incluant le massage, ostéopathie, différentes modalités thérapeutiques auraient plus ou moins soulagé monsieur Bilodeau et c'est finalement le 22 novembre 1998 lors d'un simple mouvement se tournant dans son lit, qu'il y eut aggravation d'une symptomatologie douloureuse au niveau des membres inférieurs ayant nécessité du discoïdectomie L4-L5 - L5-S1.
6. Nouvel événement extérieur :
• Différentes notes d'évolution des généralistes au dossier, soit des Drs Laurent Mongeau, Alain Bérubé et Yves Beaulieu, monsieur Bilodeau n'a présenté aucun nouvel événement traumatique, aucun événement soudain ou subi après l'accident du 22 novembre 1990. voir copie de son expertise, page 5
Et Pourtant, certain des employés de la SAAQ continue à mettre en doute la véracité du lien blessures-accident "Il y a beaucoup de zones d'ombre dans votre histoire" a dit ce fonctionnaire. Bien sûr, il a été incapable de préciser ces "zones d'ombre" quand je le lui ai demandé !
Mais le pire est que tous les employés de la SAAQ, y comprit l'ancien PDG, affirme même par écrit que la condition préexistante a disparu en juillet 1992, mais qu'elle était présente en juin 1992 et avant!
C'est complètement ridicule. Mais par contre, cela leur permet de ne pas avoir à remettre en question les nombreux jugements erronés qui ont été rendus.
Notre intention est de faire en sorte que le TAQ mette fin à cette situation absurde et que les décisions soient modifiés en fonction de la preuve au dossier. Cela fait bien longtemps qu'on attend cela...