primauté opinion médecins traitants
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les multiples avis et soins de plusieurs médecins traitants ont primauté sur l'avis du médecin de la saaq
[73]Enfin, le Dr Brault, physiatre consultant et témoin expert de la requérante, explique clairement pourquoi il y a aggravation à partir de juillet 2002. À son tour, il admet que les traitements qu’il préconise ont un effet plutôt palliatif que curatif à proprement parler. Cependant, il les croit toujours opportuns et même nécessaires. De plus, il dit pourquoi la requérante ne peut pas travailler comme réceptionniste-téléphoniste depuis son aggravation du 25 juillet 2002. Là-dessus, en lisant la décision de première instance du 18 mars 2003, le Tribunal estime qu’il a compétence pour se prononcer sur la capacité de travail depuis l’aggravation et ce, même si la décision en révision ne dit à peu près rien à ce sujet. Cependant, étant donné qu’il s’agissait d’un des éléments de la décision de première instance, le bureau de révision avait le devoir d’en disposer. Le Tribunal le fera donc à sa place.
[74]À l’encontre de la position de la requérante, de son médecin traitant et de son physiatre expert, il y a l’avis de l’orthopédiste expert de l’intimée. Ce médecin a sans doute droit à son opinion surtout lorsqu’elle est fondée sur des considérations médicales. Cependant, le Tribunal estime que son avis vise uniquement les victimes « idéales » qui guérissent selon les meilleures normes médicales, dans les temps normalement requis et sans nécessiter de traitement particulier. Ce n’est pas le cas de la requérante.